Quand on est un fan démesuré de Dream Theater, de John Petrucci et de Music Man, on ne peut que s’émouvoir lorsqu’arrive sur le marché finalement assez standardisé de la gratte fumante une nouveauté qui réunit ces « ingrédients » pour le moins « musclés ». Magnifique, dessinée comme jamais, sculptée dans le vif d’un sujet toujours aussi brulant, la Majesty n’est pas une guitare de jazz. Elle réunit l’essentiel de ce que peut attendre le soldat du metal : gros son pour l’essentiel mais également humbuckers splittables et surtout piezzo débridé pour des échappées acoustiques dignes d’une Martin (mais sans les cloques au bout des doigts)… Bref, une guitare bien née, à l’image de celui qui la signe, sans le moindre poil qui dépasse (enfin presque…), moderne et imperturbable. On décline tout ça dans ce qui suit, avec, pour je l’espère nombre d’entre vous, un plaisir non dissimulé à la lecture de cet article attendu depuis plus d’un an… Fret-Time reprend du service, enfin !!!!!